Type de projet
Motion design
Vulgarisation scientifique

Domaine
Éducation thérapeutique pédiatrique
Médiation scientifique

Public cible
Jeunes de 8 à 18 ans atteints de drépanocytose

Mon rôle
Recherche scientifique
Vulgarisation
Storyboard
Motion design
Drépanocytose : vidéos pédagogiques pour le CHU de Pointe-à-Pitre → Trois vidéos animées pour expliquer la drépanocytose à des enfants et adolescents, en rendant les mécanismes biologiques accessibles, compréhensibles et visuellement clairs.
Commandé par le CHU de Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) via Stimulab, ce projet visait à créer trois vidéos pédagogiques pour aider les jeunes patients atteints de drépanocytose à mieux comprendre les mécanismes de leur maladie.
Objectif
Expliquer sans simplifier à l’excès, illustrer sans infantiliser, et transmettre de l’information médicale rigoureuse avec des outils visuels adaptés à une tranche d’âge large (de 8 à 18 ans).

L'effet des globules rouges falciformes

Ma démarche
J’ai mené un travail poussé de recherche et de vulgarisation, en m’appropriant les notions clés de la drépanocytose :
→ la forme falciforme des globules rouges
    
→ les obstructions vasculaires et leurs conséquences physiopathologiques
    
→ les manifestations visibles (douleurs, enflures, complications organiques)
    
→ les spécificités des transfusions liées au type d’hémoglobine et aux anticorps
Ces connaissances ont ensuite été transposées sous forme de scénarios visuels animés, pensés pour être clairs et progressifs sur le plan narratif.

Effets sur le corps : douleurs, gonflements, atteintes d’organes

La compatibilité sanguine

Chaque vidéo était centrée sur un axe :
→ Comprendre la maladie : le rôle des globules rouges et les blocages
    
→ Effets sur le corps : douleurs, gonflements, atteintes d’organes
    
→ La compatibilité sanguine : explication des groupes spécifiques et des critères de transfusion
Le style visuel a été pensé pour s’adapter à la fois à l’âge et à la diversité des publics concernés. Les personnages ont des formes simples et sont représentés en bleu ou vert pour rester neutres : ni adultes ni enfants clairement identifiables, ni blancs ni noirs. Cela permet à chaque jeune de se projeter sans se sentir visé ou exclu, tout en respectant le contexte démographique de la maladie.

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