Quand j’avais 10 ans, on me traitait déjà d’artiste, ce qui m’inquiétait profondément — car j’avais peur de devenir le genre d’artiste pauvre et torturée des films à la télé.

Puis mon père m’a dit qu’il existait des métiers ou l’esprit artistique pouvait payer, et il m’a donné comme exemple le design graphique. Je m’en souviens très bien, car quand j’ai voulu chercher de quoi il s’agissait, je suis tombée que sur des images d’infographies, de pub et de marketing. À 10 ans, alors que j’étais encore amoureuse des univers fantastiques, des livres et des dessins-animé, j’ai trouvé ça affreux. Je me suis jurée ce jour-là que quoi que je fasse, je ne deviendrais jamais graphiste.

Aujourd’hui, j’ai un DNMADE en graphisme édition multisupport et un master en direction artistique dans les industries culturelles et créatives. Mon travail tourne autour de l’identité visuelle, l’animation/motion et la communication événementielle, toujours avec l’envie de raconter des histoires.